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Bénévolat étudiant : Découvrez le citoyen engagé qui est en vous ! 06/04/2021
S’engager en tant que bénévole, et donner de son temps et de son énergie ... sans rien attendre en retour permet à l’individu de découvrir énormément de choses sur lui-même. Des retombées encore plus impactantees sur les étudiants en plein cursus universitaire.   Des initiatives réussies au Maroc   Le système des clubs des grandes écoles de commerce (ENCG et ISCAE), des écoles d’ingénierie (ENSA, INPT, EMI, etc.), des écoles techniques (EST, OFPPT) et même au sein des facultés permet d’enrichir la vie parascolaire des étudiants et de compléter en soft skills leur formation théorique. Le réseau des Ecoles Nationales de Commerce et de Gestion va encore plus loin en rendant obligatoire aux étudiants de deuxième année la validation d’un module intitulé « Action sociale ». Ils sont ainsi amenés à travailler en groupe sur des projets sociaux (aménagement et rénovation de quartiers, de maisons de vie, d’écoles ou de centres de santé) et à élaborer des stratégies de communication pour mobiliser des bénévoles et lever des fonds. Ils sont également en contact direct avec les autorités, les bénéficiaires, les éventuels sponsors et l’administration de leurs écoles, et ils supervisent toutes les étapes de leurs actions, de l’estimation budgétaire au travail de terrain. Les étudiants sont ensuite notés sur la qualité de leurs opérations, leur impact immédiat et sur le long terme, ainsi que sur les différents aspects organisationnels. Une expérience unique, qui marque profondément ces jeunes, et qui outille certains d’entre eux avec les compétences nécessaires aux managers et aux entrepreneurs de demain.   Une meilleure employabilité   Est-ce si important pour les étudiants de s’engager en tant que bénévoles ? La question est légitime, connaissant la charge de travail à laquelle font face les universitaires. Le bénévolat est initialement motivé, dans le plus souvent des cas, par une volonté d’aider autrui. Mais le jeune bénévole en tire du positif à titre personnel. Les bénévoles réguliers développent une certaine aisance sociale et des aptitudes en communication et en leadership. Ils deviennent plus avenants, plus sûrs d’eux, et surtout plus confiants en leur capacité à réussir sur le plan professionnel et relationnel. Plus encore, un jeune engagé pour des causes qui le passionnent est porteur d’espoir. Il a un impact positif sur son entourage et sur d’autres jeunes, et véhicule des valeurs nobles dans la vraie vie comme sur les réseaux sociaux. Enfin, chaque chercheur d’emploi fraichement diplômé est confronté au paradoxe de l’expérience professionnelle. Pour être recruté, il faut avoir de l’expérience, et pour avoir de l’expérience, il faut se faire recruter. Le bénévole peut remplacer lors de son entretien d’embauche l’expérience professionnelle par ses expériences en tant que bénévole, en mettant l’accent sur leur impact enrichissant. En somme, s’engager en tant que bénévole est le meilleur moyen d’avoir un impact positif sur son environnement proche et apporter un changement significatif.
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Les gagnants de la troisième édition du Dir iddik Summit sont… 04/02/2021
La troisième édition du Dir iddik Summit s’est tenue en 100% digital en ... raison des conditions sanitaires actuelles, une compétition qui a récompensé les représentants de la société civile les plus actifs de l’année 2020, et qui a proposé des keynotes, des conférences et des formations en ligne. Ce qui n’a pas empêché les finalistes et les gagnants de suivre l’annonce des lauréats et de célébrer leur succès lors de la cérémonie de remise des trophées diffusée en direct sur Facebook et YouTube le samedi 5 décembre dernier.   Ci-dessous, les noms des 6 gagnants :   Catégorie « Action éducative de l’année »   Sustainable Creativity Competition, organisée par Scoutisme Hassania Marocain, branche Abdelaziz Idrissi Kasmi (Khouribga)   Catégorie « Action civique de l’année »   Initiative Sanad, organisée par Charity Sanad Alajial Agadir (Agadir)   Catégorie « Action de l'année »   Forum solidaire national de sensibilisation aux personnes à mobilité réduite, organisé par l’Association Marocains Solidaires Sans Frontière (Oujda)   Catégorie « Action pendant le COVID »   Initiative Ramadan, organisée par Charity Sanad Alajial Agadir (Agadir)   Catégorie « Volontaire Dir iddik de l’année »   Mohamed Ahidar (Al Hoceima)   Catégorie « Association de l’année »   Charity Sanad Alajial Agadir     En plus de ces 6 lauréats, la troisième édition du Dir iddik Summit a été l’occasion de décerner à 20 associations qui collaborent régulièrement avec Dir iddik un trophée symbolique qui récompense leur mobilisation et leur participation à la campagne de distribution de denrées alimentaires durant la période de confinement :   Association Initiative Lkhir (Casablanca) Association Jeunesse de future (Casablanca) Association Jeunes Abir Sabil pour le développement humain (Safi) Association Al Hoceima pour le développement social (Al Hoceima) Association Marocains solidaires sans frontière (Oujda) Association Citoyen actif (Casablanca) Scoutisme Hassania Marocain, branche Ghandi (Casablanca) Association de la Jeunesse de Tamdoult pour la culture et le développement (Akka) Association marocaine de la renaissance sociale (Mohammedia) Association Jeunesse du futur pour la culture et le développement social (Laâyoune) Charity Sanad Alajial Agadir (Agadir) Association Ribat Al Anwar (Rabat) Association Marocains et fiers (Casablanca) Institut national de solidarité avec les femmes en détresse (Casablanca) Association Futurs ingénieurs (Tétouan) JCI Grand Ouarzazate (Ouarzazate) Association Créateurs de sourire (Settat) Association Ajial Tofola pour la jeunesse et les œuvres sociales (Fès) Jeunes d’Atlas (Taroudant) Sourire de Marrakech (Marrakech)
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Comment réussir vos campagnes d’appel aux dons ? 01/02/2021
Vous êtes bénévole engagé ou membre d’un club au sein de votre ... école ou du bureau exécutif d’une association ? Vous souhaitez récolter des dons et apporter votre aide aux personnes les plus démunies, mais vous ne savez pas par où commencer ? Suivez ces quelques consignes pour réussir haut la main votre campagne de récolte.     Qui peut lancer une campagne d’appel aux dons ?   Au Maroc, il est primordial de faire la distinction entre la collecte de dons en nature et la collecte d’argent. Si la première est implicitement ouverte au grand public, la seconde est une pratique surveillée et régie par la loi.   La loi N°004-71 stipule que « toute association ou groupement régulièrement constitué et ayant son siège au Maroc désirant faire appel à la générosité publique doit déposer, contre récépissé, par son représentant, dûment mandaté à cette fin, quinze jours au moins avant la date de la manifestation prévue, une demande d'autorisation, selon le cas, auprès du gouverneur de la préfecture ou de la province où doit se dérouler la manifestation si celle-ci a un caractère local, provincial ou préfectoral ; du wali de la région si l'appel concerne plus d'une province ou préfecture de la région concernée ; et du secrétaire général du gouvernement lorsque la manifestation a un caractère national ».   La procédure de dépôt des demandes d'appel à la générosité publique est donc limitée aux organisations capables de préciser la nature de leur manifestation, la destination des fonds à collecter, ainsi que la date et le lieu de son déroulement. Ces associations doivent également fournir un rapport détaillé des montants récoltés, le dernier renouvellement du bureau de l'association, une copie du bilan financier, du programme de la manifestation, de l'identité et de la qualité des personnes physiques chargées de la collecte…   En somme, certaines démarches administratives sont à respecter et les campagnes de récolte de fonds ne sont pas ouvertes à tout le monde.     Mais qu’en est-il du financement participatif ?   Le financement participatif (ou le crowdfunding) constitue depuis quelques années une zone grise, faute de réglementation particulière à ce mode de financement. Des plateformes comme Wuluj et Cotizi sont utilisées par certains entrepreneurs, associations et coopératives pour financier leurs projets à forte connotation sociale, mais nous sommes encore loin de la popularité du concept en Europe et Outre-Atlantique.   Heureusement, la Chambre des représentants a adopté le 11 février dernier le projet de loi N°15-18 relatif au financement collaboratif, qui sera, aux dires du ministère de l’économie et des finances, un levier de développement pour les jeunes porteurs de projets, les entreprises sociales et les associations.   Munissez-vous de patience, vous pourrez très prochainement recourir au crowdfunding pour financer toutes vos activités !     Le rôle central que jouent les réseaux sociaux dans la collecte des dons :   Nous collaborons au sein de Dir iddik avec un grand nombre de jeunes affiliés à des organisations nationales et internationales qui ont régulièrement recours aux appels aux dons sur les réseaux sociaux. Parmi celles-ci figurent le Rotary et les Jeunes Leaders Marocains (JLM) qui réussissent à récolter régulièrement de très grandes quantités de vêtements, de couvertures et de denrées alimentaires en mobilisant en ligne leurs communautés respectives. Leur secret : une grande maitrise de la communication digitale puisqu’ils parviennent, à coup de publications, de vidéos, de partages et de Stories à générer un potentiel viral et à toucher d’importantes audiences.   Internet facilite la mise en place de la méthode de l’oignon qui consiste à solliciter en premier l’entourage proche (le cœur de l’oignon) avant de toucher progressivement des personnes moins proches (les autres couches de l’oignon). Il est par exemple conseillé d’introduire d’abord le lieu de l’action, d’enchaîner avec la liste des besoins, de filmer une vidéo, de documenter la réception et le tri des dons à des fins de transparence, d’impliquer les meilleurs amis, d’élargir aux collègues, amis d’amis et connaissances, avant de lancer finalement l’appel public.   Taguer certains individus sur les publications, impliquer les micro-influenceurs et fixer des objectifs réalisables (qui peuvent être revus à la hausse ultérieurement), tout en partageant les différentes étapes de préparation et en lançant des défis à sa communauté permet, entre autres, de booster la campagne et d’atteindre une audience plus grande.   Certaines associations poussent l’exercice encore plus loin en faisant du porte-à-porte et en ciblant les endroits populaires comme les gares, les places publiques, les entrées des grandes surfaces et les centres commerciaux (en respectant bien évidemment les règles sanitaires en période de pandémie). Pour crédibiliser davantage leur travail, elles offrent aux donateurs des badges, des pin’s, des calendriers ou de simples reçus horodatés et tamponnés.     Une démarche murement réfléchie :   Il est primordial de réfléchir à votre campagne plusieurs semaines à l’avance et d’en déterminer les besoins, la portée et l’originalité, si vous souhaitez garantir sa réussite. Vous ne devez surtout pas lasser votre communauté en lui demandant trop de choses, trop vite et trop souvent.   L’hiver arrive ? Préparez votre collecte de vêtements chauds et de couvertures dès la fin de l’été pour un lancement en automne. Cela vous laissera le temps de faire le tri, de recruter des bénévoles, d’identifier vos bénéficiaires et de gérer confortablement votre logistique.   Les fournitures scolaires font défaut aux élèves des écoles de montagne ? Lancez votre collecte dès la fin de l’année scolaire (et non à la rentrée comme le font la majorité des associations), et récupérez les vieux manuels, les sacs et les trousses utilisées que vous pourrez trier et rafistoler tout au long de l’été.     Une distribution sous surveillance :   Les élus marocains ont voté une loi régissant les opérations caritatives afin d’éviter les débordements et les divers accidents pouvant entacher les attroupements de bénéficiaires, et encadrer ainsi la distribution d’aides lors d’opérations de bienfaisance.   Sachez qu’il est désormais nécessaire d’informer au préalable les autorités publiques, commissariat de police, pachalik et/ou caïdat, ainsi que la protection civile, et de respecter certaines normes de sécurité, afin de garantir le bon déroulement et le succès des distributions de dons.     Les consignes à retenir pour réussir votre campagne de récolte :   Pour résumer, vos campagnes d’appel aux dons ont toutes les chances de réussir si :   - Vous vous y prenez suffisamment en avance - Vous respectez certaines bonnes pratiques - Vous exploitez la force des réseaux sociaux - Vous agissez conformément aux lois en vigueur - Vous êtes sincères et transparents
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Bénévolat et mesures sanitaires : Comment apporter votre aide malgré les restrictions ? 21/01/2021
Vous aimez le bénévolat, aller vers les autres et aider celles et ceux qui sont dans ... le besoin ? Vous vous êtes retrouvés tout à coup contraints de limiter vos mouvements à cause des restrictions sanitaires mises en place pour lutter contre la pandémie de COVID-19 ? Ne désespérez pas, il est toujours possible de vous engager et prêter main-forte aux associations caritatives, malgré les circonstances très inhabituelles de cette année.   Être bénévole sur le terrain   Vous pouvez continuer à participer à des opérations de terrain menées par certaines associations à condition de :   vous assurer que la mission en question est compatible avec les règles de confinement et les règles sanitaires édictées par le gouvernement ; disposer des autorisations nécessaires délivrées par les autorités concernées ; respecter les règles de précaution en maintenant les distances de sécurité en toute circonstance, en appliquant les gestes barrières, en utilisant un masque sur le visage et en vous lavant régulièrement les mains avec du savon et/ou une solution hydroalcoolique. Parmi les actions de terrain les plus populaires en cette période de crise, la distribution de denrées alimentaires aux familles impactées par l’arrêt de certaines activités économiques, et le soutien émotionnel apporté aux populations vulnérables, notamment au sein des maisons de vie, des orphelinats et des centres de protection de l’enfance.   Le plus important étant de maintenir un lien social avec sa communauté puisque très peu de gens meurent de faim mais beaucoup souffrent des effets physiologiques et psychologiques de la solitude et du cloisonnement.   Être bénévole à domicile   Le « volontariat digital » est une excellente alternative aux actions de terrain, moins risquée, moins contraignante, avec un impact tout aussi important. Cela peut commencer par un travail de sensibilisation sur les réseaux sociaux en partageant des conseils et des astuces pour traverser sereinement la crise, et aller jusqu’à combattre les « fake news ».   Mais cet engagement peut revêtir des formes bien plus élaborées en proposant son aide aux associations actives en ligne. Des associations qui offrent des cours de soutien à distance aux élèves et aux étudiants, ou des formations aux jeunes porteurs de projets, aux travailleurs indépendants et aux autres acteurs de la société civile. Si vous avez une expérience personnelle ou professionnelle à partager, des compétences techniques ou des idées d’activités ludiques ou éducatives, sachez que beaucoup d’associations sont à la recherche de formateurs bénévoles comme vous.   Soutenir les associations par des dons demeure néanmoins l’un des moyens les plus efficaces, qu’ils soient en nature ou en argent. De vieux livres, des vêtements, des jouets et des fournitures scolaires feront plus que jamais le bonheur des plus démunis.   Autres idées   Il n’est pas nécessaire de rentrer en contact avec des associations pour pouvoir aider son prochain. Vous pouvez avoir un effet positif sur votre entourage grâce à ces petits gestes très impactants :    Assurez-vous que vos voisins vont bien Faites les courses à la place de personnes âgées pour leur éviter de sortir Faites un don de sang Rappelez les bons gestes sanitaires à ceux qui semblent se relâcher Montrez l’exemple en étant irréprochable sur le respect de ces règles   Et surtout, prenez soin de vous pour éviter de tomber malade et éviter de saturer le système de santé.
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Un vent de dynamisme souffle sur les associations marocaines 21/01/2021
Les 50.000 associations actives recensées en 2011 par le Haut-Commissariat au Plan font ... de la société marocaine l’une des plus engagées et des plus dynamiques de la région MENA (Afrique du Nord et Moyen-Orient). Des associations qui œuvrent pour le développement social et éducatif, et qui constituent un acteur économique insoupçonné apte à générer de l’activité et de l’emploi.   Le tissu associatif, bénévoles et associations réunis, a néanmoins besoin de relever les défis du 21ème siècle pour répondre aux besoins socioéconomiques du Maroc.   Les sources financières alternatives   Dans une étude menée par Dir iddik auprès d’ associations avec qui la plateforme collabore, la contrainte financière arrive en tête des problématiques exprimées, et cela à plus de 75%. Elle inclut les besoins logistiques et techniques, les besoins en termes de communication (impression de supports, promotion en ligne, gestion des profils sociaux) et l’absence d’un local dédié aux réunions et aux activités.   Mais plusieurs associations font preuve d’ingéniosité pour surpasser ces limites et s’émanciper des cotisations des membres et des aides publiques en tant que principales sources de financement. Les clubs actifs au sein des grandes écoles et des facultés organisent régulièrement des événements générateurs de revenus, notamment des galas et des soirées payantes. D’autres réseaux de jeunes innovent dans leur communication et intègrent massivement internet, ce qui séduit les entreprises privées, sponsors et mécènes, qui souhaitent gagner en visibilité en s’associant à ce type d’initiatives.   Les plateformes sociales sont aujourd’hui d’excellents intermédiaires pour lever des fonds, appeler aux dons et mobiliser des bénévoles. Le réseau des Rotary et des JLM y a généralement recours pour organiser des caravanes solidaires et des campagnes de distribution de denrées pour l’hiver dans les régions les plus recluses.   D’autres associations s’orientent vers les bailleurs de fonds internationaux (MEPI, USAID, GIZ, etc.) avec des programmes qui s’inscrivent dans le temps, capables de toucher des centaines de bénéficiaires et de mobiliser autant de bénévoles. Un travail d’autoformation interne est néanmoins nécessaire pour être capable de soumissionner à de tels programmes et espérer décrocher leurs financements, tout comme une bonne connaissance des procédures légales et administratives, une transparence dans la gestion de l’association et la maîtrise des langues étrangères (anglais et français).   Dans un registre différent, le collectif MIRLA (Mouvement des initiatives pour la réforme des lois des associations au Maroc) regroupant 1.000 associations plaide pour la mise en place de mesures incitatives au soutien financier du travail associatif de la part du secteur privé.   En somme, les associations innovent et militent pour une plus grande autonomie financière.   Le rajeunissement des effectifs   La simplification des procédures administratives a encouragé un très grand nombre de jeunes à créer ou à intégrer des associations existantes. Un sang neuf qui a progressivement remplacé les cadres vieillissants (présidents, secrétaires, trésoriers, etc.) et importé des idées novatrices et des méthodes de travail plus efficaces.   Les associations sont aujourd’hui dans la nécessité d’attirer des membres jeunes et capables de répondre aux problématiques actuelles, d’intégrer des solutions modernes et de mobiliser des bénévoles aussi jeunes qu’eux.   A cet effet, les écoles et universités intègrent petit à petit le travail social dans leurs cursus académiques en encourageant les étudiants à se mobiliser sous la forme de clubs, et font la promotion du don de soi en les poussant à considérer autrement le bénévolat, notamment comme un nouveau facteur d’employabilité déterminant.   L’importance de la formation   L’Etat – comme le secteur privé – met en avant sa volonté (et la nécessité) de soutenir la société civile et les valeurs de citoyenneté qui en découlent. Dir iddik, comme tant d’autres initiatives engagées et responsables, diversifie ses formes de soutien et accompagne tout au long de l’année plusieurs dizaines d’associations à travers un programme de formation adapté à leurs besoins, et qui est le fruit d’une étude préliminaire de leurs gisements de force et de leurs principales lacunes.   Des formations sur les techniques de communication, sur la gestion de projets, sur la bonne gouvernance financière, sur la levée de fonds… ont d’ores et déjà été dispensées. En plus d’une plateforme web de promotion des actions et de recrutement des bénévoles.   Un nombre grandissant d’associations ont compris qu’elles ne pouvaient plus vivre sous perfusion. Afin de pérenniser leurs activités, s’autonomiser et générer des revenus en dehors des dons et du sponsoring, elles ont pris le tournant de la modernité et de l’innovation, montrant la voie aux dizaines de milliers qui attendent pour leur emboiter le pas.
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Un vent de dynamisme souffle sur les associations marocaines 04/11/2020
Les 50.000 associations actives recensées en 2011 par le Haut-Commissariat au Plan font ... de la société marocaine l’une des plus engagées et des plus dynamiques de la région MENA (Afrique du Nord et Moyen-Orient). Des associations qui œuvrent pour le développement social et éducatif, et qui constituent un acteur économique insoupçonné apte à générer de l’activité et de l’emploi.   Le tissu associatif, bénévoles et associations réunis, a néanmoins besoin de relever les défis du 21ème siècle pour répondre aux besoins socioéconomiques du Maroc.   Les sources financières alternatives   Dans une étude menée par Dir iddik auprès d’ associations avec qui la plateforme collabore, la contrainte financière arrive en tête des problématiques exprimées, et cela à plus de 75%. Elle inclut les besoins logistiques et techniques, les besoins en termes de communication (impression de supports, promotion en ligne, gestion des profils sociaux) et l’absence d’un local dédié aux réunions et aux activités.   Mais plusieurs associations font preuve d’ingéniosité pour surpasser ces limites et s’émanciper des cotisations des membres et des aides publiques en tant que principales sources de financement. Les clubs actifs au sein des grandes écoles et des facultés organisent régulièrement des événements générateurs de revenus, notamment des galas et des soirées payantes. D’autres réseaux de jeunes innovent dans leur communication et intègrent massivement internet, ce qui séduit les entreprises privées, sponsors et mécènes, qui souhaitent gagner en visibilité en s’associant à ce type d’initiatives.   Les plateformes sociales sont aujourd’hui d’excellents intermédiaires pour lever des fonds, appeler aux dons et mobiliser des bénévoles. Le réseau des Rotary et des JLM y a généralement recours pour organiser des caravanes solidaires et des campagnes de distribution de denrées pour l’hiver dans les régions les plus recluses.   D’autres associations s’orientent vers les bailleurs de fonds internationaux (MEPI, USAID, GIZ, etc.) avec des programmes qui s’inscrivent dans le temps, capables de toucher des centaines de bénéficiaires et de mobiliser autant de bénévoles. Un travail d’autoformation interne est néanmoins nécessaire pour être capable de soumissionner à de tels programmes et espérer décrocher leurs financements, tout comme une bonne connaissance des procédures légales et administratives, une transparence dans la gestion de l’association et la maîtrise des langues étrangères (anglais et français).   Dans un registre différent, le collectif MIRLA (Mouvement des initiatives pour la réforme des lois des associations au Maroc) regroupant 1.000 associations plaide pour la mise en place de mesures incitatives au soutien financier du travail associatif de la part du secteur privé.   En somme, les associations innovent et militent pour une plus grande autonomie financière.   Le rajeunissement des effectifs   La simplification des procédures administratives a encouragé un très grand nombre de jeunes à créer ou à intégrer des associations existantes. Un sang neuf qui a progressivement remplacé les cadres vieillissants (présidents, secrétaires, trésoriers, etc.) et importé des idées novatrices et des méthodes de travail plus efficaces.   Les associations sont aujourd’hui dans la nécessité d’attirer des membres jeunes et capables de répondre aux problématiques actuelles, d’intégrer des solutions modernes et de mobiliser des bénévoles aussi jeunes qu’eux.   A cet effet, les écoles et universités intègrent petit à petit le travail social dans leurs cursus académiques en encourageant les étudiants à se mobiliser sous la forme de clubs, et font la promotion du don de soi en les poussant à considérer autrement le bénévolat, notamment comme un nouveau facteur d’employabilité déterminant.   L’importance de la formation   L’Etat – comme le secteur privé – met en avant sa volonté (et la nécessité) de soutenir la société civile et les valeurs de citoyenneté qui en découlent. Dir iddik, comme tant d’autres initiatives engagées et responsables, diversifie ses formes de soutien et accompagne tout au long de l’année plusieurs dizaines d’associations à travers un programme de formation adapté à leurs besoins, et qui est le fruit d’une étude préliminaire de leurs gisements de force et de leurs principales lacunes.   Des formations sur les techniques de communication, sur la gestion de projets, sur la bonne gouvernance financière, sur la levée de fonds… ont d’ores et déjà été dispensées. En plus d’une plateforme web de promotion des actions et de recrutement des bénévoles.   Un nombre grandissant d’associations ont compris qu’elles ne pouvaient plus vivre sous perfusion. Afin de pérenniser leurs activités, s’autonomiser et générer des revenus en dehors des dons et du sponsoring, elles ont pris le tournant de la modernité et de l’innovation, montrant la voie aux dizaines de milliers qui attendent pour leur emboiter le pas.
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